Ode au fax. Dire au revoir avec panache.

Emilie

Emilie

23 mars 2021

Le fax, cet étrange mélange de photocopieuse et scanner avec un doux son mixé de l'ADSL et du nokia 3310. Oui. Ça fait beaucoup de références. Mais en même temps, c'est tout une ère, le fax 🦖
Ode au fax. Dire au revoir avec panache

Emblème du mystère

Si le fax prend parfois des allures énigmatiques, tout le monde le connaît (en tous cas jusqu'à la génération Y) : curieuse technologie qui arrive à envoyer un document imprimé à l'aide d'un numéro de téléphone. Ce même numéro de téléphone qu'on a tous déjà tapé depuis notre combiné ☎️ et qui fait retentir un long bip strident et dangereux pour nos tympans. 

Le fax, c'est un peu la mustang de l'électronique (Non quand même pas) 

Le fax, c'est un peu le minitel des petits écrans, les Worlds Apart des boys band, les spaghettis de chez Panzani. Bref, le fax, on sait tous de quoi il s'agit. 

 

 

Toutes les bonnes choses ont une fin

Parce que bientôt, nous allons mettre aux oubliettes cette douce fonctionnalité, on tenait à lui rendre hommage 🎆

Pour la petite histoire, la première tentative de transmission de documents écrits par le réseau télégraphique date de 1820. Puis il y a eu le premier fax numérique en 1969, 350 000 faxs en France en 1990… et puis il y a eu, les emails 🚀

Sur Evoliz, on a permis à un grand nombre de clients d'envoyer leur document via fax pendant plusieurs années. Aujourd'hui, après de loooongues périodes d'observation, on a réalisé que l'engouement s'était atténué... La mise en place de fonctionnalités plus simples (et, avouons-le, légèrement moins archaïque) ont pris le dessus. Désormais (au 21ème siècle, disons), vous avez la possibilité d'envoyer vos documents par courrier, par email, ou directement sur Chorus Pro pour vos factures destinées à l'administration publique. Vous le savez, on n'est pas du genre à vous laisser sans solution.

Dès le mois d'avril, la fonctionnalité Fax fera ses au revoir. Il y a de très grandes chances pour que vous ne vous en rendiez pas compte, mais si vous êtes du genre mélancolique, autorisez-vous quelques larmes. Promis, on ne vous jugera pas.

 

 

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